Le mercredi 8 juin Déborah, agrégée de littérature anglaise et titulaire d'un master de linguistique anglaise, est venue exposer son point de vue sur la science et ses limites.
LâactualitĂ© de ces deux derniĂšres annĂ©es nous a montrĂ© que la science, loin dâĂȘtre cantonnĂ©e aux domaines universitaires et expĂ©rimentaux, exerce dĂ©sormais une influence majeure sur nos vies dâindividus et de citoyens.
Elle est devenue le systĂšme de rĂ©fĂ©rence de notre monde social et chacun de nous a pu constater Ă quel point il est crucial dâapprendre Ă distinguer la vraie mĂ©thode scientifique de ses leurres dans un monde oĂč les conclusions tirĂ©es des expĂ©rimentations scientifiques dĂ©terminent notre avenir commun.
Cependant, Ă force de classer des donnĂ©es et des connaissances en fonction de si elles sont, ou non, « scientifiquement fiables », nous oublions parfois de nous questionner sur la fiabilitĂ© de la science elle-mĂȘme.
Choisir entre renoncer Ă toute connaissance du rĂ©el ou cautionner un progrĂšs aveugle de la science, est-ce la seule alternative qui sâoffre Ă nous ?
Quelles sont les consĂ©quences, Ă lâĂ©chelle sociale, dâun discours de la science omniprĂ©sent, et quelle place reste-t-il alors, dans la vie politique, pour ceux dâentre nous qui ne sont ni des savants, ni des experts ?
pour se libérer, du systÚme mafieux politico-financier de la 5° République, ensuite de cette Europe qui veut imposer son nouvel ordre mondial.
Avec tous les citoyens de bonne volonté pour un monde meilleur.
Vive le RIC, premier pas vers une véritable démocratie, pour un gouvernement provisoire de transition, et la réorientation de tous les secteurs vers le bien commun.