Citoyens de France, réveillez-vous et rejoignez les résistants de France avant qu’il ne soit trop tard.

Sans réaction, le pays court à sa ruine programmée et organisée.

La destruction de notre pays et de nos valeurs civilisationnelles et morales a commencé il y a au moins cinq décennies, mais aujourd’hui, sans prise de conscience de chacun et sans réaction collective, intelligente, unie et courageuse nous irons au terme de notre effondrement.

Cet effondrement n’est pas qu’économique et financier ni même écologique, il est avant tout civilisationnel, à savoir : intellectuel, moral, rationnel et même spirituel car notre société est devenue Orwellienne, ce qui signifie que toutes nos valeurs fondatrices sont inversées, la devise « liberté, égalité, fraternité » n’étant plus qu’une coquille vide visant à masquer l’état réel du pays.

Nos institutions sont toutes détournées de leur finalité.

Notre économie produit de moins en moins ce que nous consommons, et l’on nous fait miroiter une croissance qui non seulement n’existera plus mais n’est qu’un très mauvais indicateur de la satisfaction de nos besoins réels et ne tient aucun compte des dégradations écologiques, humaines et culturelles.

Notre agriculture – alors que la France était un pays traditionnellement agricole – n’assure plus notre souveraineté alimentaire.

Notre monnaie – sous les coups de la Planche à billets – s’effondrera nécessairement en ne valant plus rien au fur et à mesure que l’inflation s’envolera.

Notre Éducation Nationale instruit peu et de façon de plus en plus inégale, délivre des diplômes dévalorisés, mais se préoccupe de « vaccination » des élèves !

Notre santé est remise entre les mains de Big Pharma, et pour le monstre pharmaceutique notre santé n’est plus qu’un immense marché à prendre.

L’écologie « officielle » n’a aucun rapport avec une écologie authentique et cohérente qui consisterait à remettre en question nos modes de production et de consommation et à prendre soin de la nature, mais nous prépare un « fascisme vert » qui probablement assignera les citoyens à résidence au nom de « la protection de la planète » puisque le fait d’être confiné est devenu une nouvelle normalité ! Un passeport vert, probablement, décidera de notre consommation et de nos déplacements.

Le développement du numérique n’a pas pour but le progrès social et humain, mais la destruction du travail social, le remplacement des services publics par des services déshumanisés ; l’intelligence artificielle nous prépare une société non plus de la médecine mais de la télémédecine, une société dans laquelle on préférera le robot à l’être humain devenu inutile et que l’on placera sous surveillance permanente... grâce au crédit social.

L’État n’est plus un protecteur mais un prédateur détournant l’impôt du peuple français pressurisé vers des intérêts contraires au bien commun (sans jamais toucher aux capitaux apatrides des très riches), et cela sans le moindre débat démocratique.

Cet État qui autrefois prétendait être celui des Droits de l’Homme, s’assied désormais ouvertement sur l’esprit de la Constitution et les droits fondamentaux, maltraite tous ceux qui protestent ou s’opposent à ses diktats ; le pouvoir du plus fort se fait sentir chaque jour davantage et celui qui refuse de se soumettre se retrouve sans revenu.

Cet État tyrannique s’appuie sur des procédés vieux comme la politique des tyrans, et décrits depuis longtemps par nos grands penseurs comme Machiavel, mais ils sont renforcés par les moyens de contrôle de masse de notre époque ; les fausses promesses, comme celle de retrouver une vie normale après deux injections, le mensonge, les menaces, ou encore le « diviser pour mieux régner » sont des stratégies qui fonctionnent d’autant mieux que les liens sociaux et familiaux se décomposent et que les citoyens sont sous pression.

L’espoir de ceux qui nous gouvernent – en apparence mais aussi dans l’ombre – réside dans le fait que nous ne nous réveillerons en nombre que trop tardivement, quand nous n’aurons plus les moyens de combattre du fait par exemple d’un effondrement financier.

C’est pourquoi il est urgent de cesser d’obéir à l’arbitraire et l’injustice, de reprendre en main notre destin, de nous réapproprier notre démocratie et de faire émerger de vraies élites au service du bien commun contre les usurpateurs qui ne nous dominent que parce que nous nous soumettons.

Nous pouvons ensemble empêcher le pire car chacun d’entre nous par sa résistance peut être un acteur de la libération et de la reconstruction.

N’oublions jamais que les leçons de l’histoire sont toujours les mêmes : l’inaction, l’aveuglement et le consentement passif à ce qui autrefois nous aurait fait réagir nous mènent à des situations tragiques car les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets et l’obéissance servile conforte toujours les tyrans.

Souvenons-nous de ce que nous disait le grand ami de Montaigne, La Boétie : « Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres » (discours de la servitude volontaire).

Il nous appartient sans tarder de prendre la mesure du problème et de travailler ensemble pour retrouver le sens de la véritable politique sans croire à la fatalité de ce qui nous est imposé par nos maîtres et sans attendre un sauveur.

Place au peuple ! Place au bien commun !

Pour vous informer :

• Sur le désordre mondial : Valérie Bugault, valeriebugault.fr ; son livre « les raisons cachées du nouvel ordre mondial »
• Sur la guerre contre les peuples : Claire Séverac ; son livre aux éditions contre culture ; ses conférences sur odysee.com
• Sur la crise sanitaire : Philippe Aimar ; « enquête sur un virus » (le jardin des Livres)
• Sur la Cop 26 : article du 16 novembre sur le courrier des stratèges, lecourrierdesstrateges.fr ; ainsi que sur le Great Reset (le plan des mondialistes lié au totalitarisme numérique)
• Sur notre consentement à la servitude : Étienne de La Boétie ; discours de la servitude volontaire

  ---

Télécharger le bulletin « Résistance »
Télécharger le tract destiné aux étudiants

Rejoignez-nous, On Est Là,

Vive le RIC.

Article suivant Article précédent