Il est des actes qui scellent un destin, une rencontre, une rupture. Il est des actes qui, plus que d’autres, ont une portĂ©e symbolique aussi puissante (parfois mĂȘme plus) que des faits gravissimes.

Le mépris

Le mĂ©pris dont l’AssemblĂ©e Nationale Française a fait preuve vis-Ă -vis du peuple français qu’elle serait censĂ©e reprĂ©senter fait partie en ce 20 mars 2023 de ces actes indignes.

Nos gouvernants nous avaient dĂ©jĂ , hĂ©las, habituĂ©s Ă  la lĂąchetĂ©, Ă  l’arrivisme individuel, Ă  la servilitĂ© vis-Ă -vis d’un parti ou d’un commanditaire fortunĂ© et influent, Ă  la dĂ©linquance en col blanc mais tout aussi crade que le crime crapuleux du mafieux patentĂ©.

On savait les parlementaires capables de cĂ©citĂ© politique, l’Histoire tĂ©moigne dĂ©jĂ  de cas pathĂ©tiques. Mais les leçons de l’Histoire n’ont visiblement pas servi aux dĂ©putĂ©s qui ont dĂ©libĂ©rĂ©ment choisi en ce jour d’ignorer l’opinion immensĂ©ment majoritaire des citoyens qui les ont Ă©lus (tant bien que mal d’ailleurs mais ce sera un autre dĂ©bat).

L'irréparable

Aujourd’hui, consommant une fracture dĂ©jĂ  sensible entre pseudo reprĂ©sentation nationale et peuple prĂ©tendument souverain, mais en rĂ©alitĂ© rĂ©guliĂšrement bafouĂ©, l’AssemblĂ©e Nationale a commis l’irrĂ©parable.

Certes, certains groupes se sont dĂ©menĂ©s pour amener Ă  la raison les sourds d’oreille qui refusaient de prendre en compte les dolĂ©ances rĂ©pĂ©tĂ©es des citoyens. Peine perdue ! À neuf voix prĂšs, une sinistre majoritĂ© a crachĂ© Ă  la figure des citoyens-Ă©lecteurs-travailleurs, entachant de façon indĂ©lĂ©bile la crĂ©dibilitĂ© de l’Institution toute entiĂšre.

La répression

Divorce contentieux, rancƓur dĂ©clarĂ©e, on envoie, en plus, les forces de rĂ©pression « punir » les militants lĂ©gitimes dans la justesse de leur combat comme vis-Ă -vis de l’opinion de leurs compatriotes. Violence aveugle et perverse activant des personnels de police qui ne se rendent mĂȘme plus compte de la monstruositĂ© de leur obĂ©issance. Il y a des limites Ă  ce que l’on doit accepter. Las ! Nos cerbĂšres de la milice d’État frappent, brutalisent, arrĂȘtent, encabanent Ă  tour de bras, comme hallucinĂ©s par l’engrenage des Ă©vĂšnements, comme pris dans un vertige sadique comme on peut ĂȘtre pris de boisson et privĂ© de tout frein social. À tel point que le syndicat de la magistrature a publiĂ© un texte remarquable dĂ©nonçant cette situation de violence illĂ©gale !

Oui, une crise profonde et destructrice (mais peut-ĂȘtre est-ce la recherche d’une telle violence civile qui anime les donneurs d’ordre pervers) gangrĂšne notre belle nation. Nous devons dĂ©fendre cette nation en danger. Et pour la dĂ©fendre, il n’y a plus que nous
 le peuple uni.

Serons-nous faibles ou forts ?

À chacun de se positionner. Il n’est plus possible de temporiser, il n’est plus possible de douter, il n’est plus possible de se mentir. Les faits sont lĂ , Ă©vidents et tĂȘtus : ces gouvernants haĂŻssent leurs compatriotes. Ils ont commis l’irrĂ©parable.



🛑Unissons-nous ! RĂ©sistons ensemble,

pour se libérer, du systÚme mafieux politico-financier de la 5° République, ensuite de cette Europe qui veut imposer son nouvel ordre mondial.

Avec tous les citoyens de bonne volonté pour un monde meilleur.

Vive le RIC, premier pas vers une véritable démocratie, pour un gouvernement provisoire de transition, et la réorientation de tous les secteurs vers le bien commun.

On est LĂ  !...

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